Sophie Lacroix: prendre sa place, partout
Grande voyageuse, musicienne de talent, Sophie Lacroix a présenté plusieurs conférences un peu partout au Canada, en Europe et en Asie. Jamais elle ne se séparerait de son si précieux saxophone. Agente pédagogique pour le ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance du Nouveau-Brunswick, elle dirige la mise en œuvre de la Politique d’aménagement linguistique et culturel (PALC). Elle œuvre aussi sur le plan international en tant que correspondante nationale pour la Conférence des ministres de l’Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN).
Francosphère a questionné différentes personnes engagées afin de connaître leur point de vue au sujet de l’identité francophone.
Que faut-il privilégier pour favoriser la construction identitaire des jeunes?
À mon avis, pour favoriser la construction identitaire, il faut privilégier une approche citoyenne, ouverte sur le monde, tout en stimulant l’engagement francophone dans la communauté et dans l’espace virtuel. Je suis une adepte du concept du « par et pour les jeunes », de l’énorme potentiel des arts en éducation et de l’utilisation de l’humour à l’école.
Quel avenir pour l’identité francophone?
Je crois sincèrement que l’identité francophone est en pleine effervescence. Je crois qu’elle est appelée à prendre sa place tant sur le plan local, provincial, national que sur le plan international.
Comment envisagez-vous votre engagement envers une francophonie épanouie?
Mon engagement envers une francophonie épanouie se vit quotidiennement en véhiculant et en vivant pleinement les valeurs partagées par les cultures qui la composent et en assurant pleinement mon rôle de passeur culturel.
La francosphère en action
Inspirer. Informer. Donner tout plein d’idées. Notre blogue met en valeur les meilleures pratiques en matière de construction identitaire pour alimenter la francosphère.